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Hello Bank! publie l'Observatoire de l’envie d’entreprendre

#news Dernière mise à jour : 20/11/2023 à 15:42

Hello bank!, banque digitale des indépendants dévoile la première édition de son Observatoire de l’envie d’entreprendre

À l’heure où l’envie d’entreprendre n’a jamais été aussi forte, Hello bank! s’associe à l’Institut Ipsos pour dévoiler la première édition de son Observatoire de l’envie d’entreprendre qui interroge à la fois les indépendants et le grand public.
Voici les chiffres les chiffres les plus saillants :

• Une large majorité de Français qui s’est lancée dans l’entrepreneuriat (83%) déclare que si c’était à refaire elle le referait.
• Près des deux tiers des professionnels indépendants (64%) estiment qu’il a été simple de se lancer.
• L’envie d’entreprendre atteint des niveaux très hauts chez les 18-34 ans qui sont près de 60% à
souhaiter se lancer dans l’auto-entrepreneuriat d’ici 5 ans.

En 2022, le nombre de créations d’entreprises en France a atteint un nouveau record avec plus 1 070 000 créations dont plus de 60% de micro-entreprises1. Mais d’où vient cette envie ?
Les indépendants sont-ils satisfaits de leurs choix ? Sont-ils heureux ? Donnent-ils envie d’entreprendre ? Est-il si difficile de se lancer ? Comment les Français les perçoivent-ils ?

Des indépendants heureux et portés par une soif de liberté.

Malgré les différentes crises, les indépendants affichent un taux de satisfaction élevé par rapport à leur situation professionnelle. En effet, une large majorité d’entre eux (83%) déclare que si c’était à refaire elle le referait.
Cette satisfaction s’explique en premier lieu par la liberté et l’autonomie très forte que leur confère leur choix professionnel (53%). Le plaisir et la passion dans le travail arrivent juste derrière, reconnus par 51% des indépendants.

Contrairement à certaines idées reçues, il n’est pas si compliqué de se lancer dans l’entrepreneuriat.

Même si la plupart des professionnels indépendants ont hésité avant de se lancer (61%), près des deux tiers d’entre eux (64%) estiment qu’il a été simple de se lancer.
Autre idée reçue, celle du budget pour se lancer. Le grand public estime spontanément qu’il faut en médiane 20 000 euros pour lancer un projet, un budget très conséquent. A contrario lorsque que la question est posée aux indépendants, la médiane des montants rassemblés au moment de débuter leur activité est de l’ordre de 3 000 euros, nettement en dessous de la perception du grand public.
Une jeunesse qui rêve d’entrepreneuriat.

Peu enclins à suivre les traces d’une carrière dite « classique » dans une organisation pyramidale avec des horaires fixes, les jeunes Français ont une appétence forte pour l’entrepreneuriat : ils sont une majorité (59%) à souhaiter se lancer d’ici 5 ans, c’est plus du double par rapport aux plus de 35 ans (26%). Parmi les principales motivations de se lancer dans l’entrepreneuriat, les 18-34 ans valorisent davantage la liberté (à 52% vs 35% pour les plus de 35 ans) et la flexibilité du temps de travail (40% vs 20% pour les plus de 35 ans). Ils mettent aussi davantage en avant l’envie de quitter le salariat traditionnel (32% vs 17% pour les plus de 35 ans).

Les indépendants de plus de 50 ans : un parcours unique d’entrepreneur.

Du côté des indépendants, les plus de 50 ans se distinguent avec un parcours unique. En effet, ils restent majoritairement dans le même secteur d’activité que leurs précédentes expériences professionnelles (59% vs 45% de l’ensemble des travailleurs indépendants).

Les indépendants donnent envie d’entreprendre.

Près d’un quart des Français envisagent de se lancer dans l’entrepreneuriat dans les 6 prochains mois (35% d’ici 5 ans).
L’entrepreneuriat est un véritable cercle vertueux. En effet, le fait de connaître un professionnel indépendant dans son entourage motive la moitié des Français concernés. Un chiffre qui atteint 62% chez les 18-34 ans et 82 % chez les aspirants entrepreneurs.

Le salariat dit « traditionnel » ne répond pas toujours aux attentes des Français, c’est l’un des éléments déclencheurs qui détermine le passage à l’entrepreneuriat.
Lorsque que les indépendants évoquent le lancement de leur projet, une grande majorité d’entre eux souligne une volonté de rupture avec le monde du travail traditionnel. En effet, 58% des indépendants Français se sont lancés à la suite d’une démission, d’une rupture conventionnelle, d’un licenciement ou d’un arrêt maladie / burn-out.
Si l’entourage des indépendants répond présent, les différents acteurs ne sont toujours pas perçus comme étant au rendez-vous.
Lorsque les indépendants sont interrogés sur le soutien apporté par les acteurs, publics ou privés, censés accompagner leurs parcours on constate qu’il reste une forte marge de progression pour ces acteurs.

Les banques sont le 1er acteur cité spontanément après l’entourage comme soutien des indépendants pour se lancer. Derrière, les organismes publics sont cités dans cet ordre :
• 35% considèrent avoir été soutenus par Pôle emploi
• 34% considèrent avoir été soutenus par les organismes et les structures d’accompagnement des
entrepreneurs (CCI, BpiFfrance, etc.)
• 31% considèrent avoir été soutenus par l’URSSAF

Par ailleurs, les indépendants sont 76% à considérer que leur famille est un soutien psychologique très précieux lors du lancement, et 68% à considérer la même chose pour leurs amis.

La banque digitale, le facilitateur de vie des indépendants.

Près de la moitié des entrepreneurs (46%) qui ne possèdent pas de compte dans une banque en ligne se disent prêts à en ouvrir un. Parmi eux, 81% sont prêts à y transférer leur compte principal.
Afin de réussir dans leur activité professionnelle, les indépendants ont un fort besoin de flexibilité, de réactivité et d’adaptabilité dans tous les secteurs et tout particulièrement en ce qui concerne leur partenaire bancaire.