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Fondateurs : 2

DRESSWING

Dresswing.fr qui est une Start up participative de location de vêtements et accessoires haute gamme entre particuliers.

L’économie participative n’a pas fini de faire parler d’elle. Voici qu’elle s’attaque désormais aux fringues haut de gamme. On le sait tous, les nanas aiment les grandes marques de luxe même si leur produits sont hors de prix. C’est sur ce constat (et aussi par goût pour les dites fringues) que Delphina a lancé Dresswing :

Que proposez vous ?

www.dresswing.fr qui est une nouvelle Start up participative de location de vêtements et accessoires haute gamme entre particuliers.
En surfant sur cette nouvelle tendance, Dresswing permet aux passionnées de mode de monétiser ce qui fait partie du quotidien des femmes depuis toujours : le prêt de vêtements entre amies. On met en location ce que l’on ne porte pas, on vend ce que l’on porte plus et on loue les it de la saison pour 10% du prix d’achat ! Globalement l’idée est de monétiser son dressing comme un trader gère son portefeuille d’actions ! Je mets en location puis je vends avant que mon article se décote.

Comment avez vous eu l’idée ?

C’est un ensemble de choses. Il y a 2 ans j’ai eu une expérience assez décevante avec un showroom de location de robes, les modèles étaient vieillots et ringards. J’avais envie de collections plus modernes, de jeunes créateurs. Je me suis dit qu’il y avait peut être une opportunité et puis j’ai repris ma vie chez KR Digital, l’agence où je travaillais.
L’envie d’entreprendre était de plus en plus présente, j’avais envie d’autre chose, de plus de liberté. Je rêvais de travailler dans la mode et de lancer ma marque de vêtements. Puis j’ai quitté KR pour travailler en freelance et préparer un voyage de quelques mois en Amérique Latine. Avant de partir, j’ai passé 7 mois chez My Little Paris, une expérience extraordinaire et très inspirante. Je ne suis pas restée car je savais que je voulais à mon tour créer l’entreprise de mes rêves !
Pour le reste, c’est une utilisation assidue d’Airbnb, des amies toujours planquées dans mon dressing et l’éternel « je n’ai rien à me mettre » pour le mariage de ma meilleure amie, qui m’ont peu à peu mise sur le chemin de Dresswing. Le déclic je l’ai eu à mon retour du Brésil. J’ai eu un coup de cœur pour une robe mais je ne pouvais pas me l’offrir. Je l’ai finalement achetée en me disant que je pourrais la rentabiliser en la partageant avec d’autres passionnées.
C’est comme ça que j’ai eu l’idée d’un stock apporté par les membres. Une façon simple d’avoir des collections actuelles sans dépenser d’argent…
C’est un projet qui me permet aujourd’hui de travailler entourée de vêtements sans m’asseoir sur mon expérience en marketing digital, le rêve !

Qu’est ce qui vous a convaincu de vous lancer et de créer ce projet ?

Mon entourage m’a toujours beaucoup encouragée et chacun m’a aidé à sa manière. En 15 jours j’avais fait une étude de marché, validé mon idée auprès de Fany Péchiodat (fondatrice de MLP) et trouvé des développeurs. C’est allé très vite. Je ne réalisais pas vraiment ce que je faisais, j’ai été bien entoure et pousse à l’action.

Depuis combien de temps avez vous commencé ce projet ?

Ce projet a été commencé il y un peu moins d’un an. Nous avons eu beaucoup de retard dans le développement du site. Nos premiers développeurs ont abandonné le projet en mars dernier tandis que les seconds nous ont livré un site avec trois mois de retard…La route a été longue mais nous avons enfin lancé le site!

A quel besoin répondez vous (Pourquoi vos clients ont-ils besoin de votre produit/service ?)

Les gens commencent à réellement adopter la consommation collaborative comme véritable mode de consommation. On la retrouve aujourd’hui dans de nombreux marchés (immobilier, transport etc…), pourquoi ne pas louer ses vêtements? Nous sommes parties de deux constats: le dressing d’une femme ne sera jamais assez grand et le prêt entre copines fait parti du quotidien des femmes depuis toujours. On leur propose aujourd’hui de monétiser leur dressing et de vivre de nouvelles expériences mode sans se ruiner:

Quel est votre cœur de cible ?

Nous ciblons les femmes entre 18 et 35 ans toujours à la recherche de la nouvelle expérience, des femmes qui se sont déjà essayées au commerce collaboratif et qui l’ont adopté.

Comment allez-vous vous faire connaître de vos clients ?

Pour l’instant nous avons communiqué uniquement sur les réseaux sociaux (facebook et instagram). Il s’agit maintenant pour nous de communiquer avec la presse papier et digital. Nous avons aussi comme projet des campagnes de partenariats avec certaines blogueuses mode.

Quel est le business model Comment gagnez-vous de l’argent ?

Notre business model est simple: nous prenons 20% de commission pour les transactions faites sur le site dresswing.fr. En ce qui concerne la conciergerie que nous mettons en place – le propriétaire nous confie son dressing et on s’occupe de tout – notre commission sera de 30%.

Quels sont vos besoins ?

Aujourd’hui nous avons plusieurs besoins. D’une part nous avons des besoins de financement, nous sommes en pleine levée de fonds.
Comme toute market place nous avons besoins d’amener sur notre site le maximum de visiteurs et de les convertir en utilisateurs actifs. Notre croissance dépend directement du nombre d’utilisateurs.

Quels sont les plans pour l’entreprise (revente, Ipo, rien du tout) ?

Pour l’instant le plan est de lancer Dresswing correctement et rendre nos clientes heureuses. Le reste on verra dans quelques années.

Qui sont vos principaux concurrents ? (Si si, il y a toujours un concurrent)

Nos principaux concurrents en France sont Iconity et Rentez-vous.

En quoi vous démarquez vous de vos concurrents ?

Notre originalité réside dans le fait que nous offrons la possibilité aux utilisatrices de mettre en location leur pièce avec une option de vente, c’est-à-dire que la loueuse qui aura eu un vrai coup de cœur pour une pièce pourra se l’offrir à la fin de sa location à la manière de la location en leasing. Pour le propriétaire, l’avantage est de se débarrasser d’une pièce une fois qu’il aura bien rentabilisé l’achat. Les gains sont donc multipliés.

Où voyez-vous l’entreprise dans un an ?

Un an c’est le terme que l’on s’est donné pour la deuxième levée de fond, d’ici la nous aimerions avoir déjà mis un pied à Londres.

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