A quelques jours du bac, j’aimelesstartups.fr fait aussi son numéro spécial révision mais en mode 2.0 bien sur !
Pas de cure de vitamine ou d’anabolisants cérébraux, pas de programme de méditation transcendantale. Que du travail et du partage!
Avec Lyclic, c’est toute la puissance du 2.0 au service – gratuit – des lycéens au travail !
Partage de contenu, échanges entre membres de la communauté : tout ce qu’il faut pour passer vos examens haut la main !
Que proposez-vous ?
Nous éditons une plateforme éducative dédiée au lycée empruntant le meilleur du réseau social et le meilleur de la plateforme documentaire pour proposer gratuitement aux lycéens, professeurs et parents une nouvelle expérience pédagogique.
Comment avez vous eu l’idée ?
Fraîchement diplômés et spectateurs passionnés de l’explosion du web dit « social », nous avons décidé de passer de l’autre côté de l’écran pour tenter l’expérience du web éducatif, y voyant l’occasion de créer quelque chose de ludique et d’innovant.
Qu’est ce qui vous a convaincu de vous lancer et de créer ce projet ?
La réaction des premiers interlocuteurs qui nous ont tout de suite dit de foncer, notre désir partagé d’entreprendre et de créer quelque chose de neuf qui rendrait un véritable service. Et le goût de l’aventure start-up, l’envie de monter un projet de A à Z !
Depuis combien de temps avez vous commencé ce projet ?
Cela fera à peu près deux ans cet été.
A quel besoin répondez-vous ?
Nous répondons au besoin grandissant des acteurs de la scolarité (parents, profs et élèves) d’obtenir rapidement des ressources de qualité et de se retrouver dans des espaces dédiés à l’échange, au partage et à la solidarité, dès qu’il s’agit d’une problématique touchant au quotidien scolaire.
Quel est votre coeur de cible ?
Les étudiants du lycée, leurs parents, et les professeurs du secondaire. Mais la nature de notre service, proposer gratuitement du contenu pédagogique et des fonctionnalités sociales, peut intéresser au-delà.
Comment allez-vous vous faire connaître de vos clients ?
Essentiellement par la communication digitale : blogseeding, publication d’articles sur notre blog Insidelyclic, en augmentant bien sûr notre présence sur les réseaux sociaux (Twitter et Facebook en tête) ; mais aussi par des canaux plus traditionnels : communiqués de presse pour les médias papiers et numériques, partenariats de visibilité avec des éditeurs spécialisés, distribution de brochures informatives, etc.
Quel est votre business model ?
Notre offre destinée aux utilisateurs particuliers est gratuite et le restera. Nous développons une offre payante de communication sur la plateforme pour les utilisateurs institutionnels (établissements d’enseignement secondaire et supérieur, titres de presse spécialisés, instituts d’apprentissage des langues, etc.), afin que ceux-ci puissent mettre en avant leurs formations et leurs ressources auprès de la communauté.
Quelles sont les technologies que vous utilisez ?
Le web, avec du web, et une touche finale de web. Et; ce n’est pas vraiment une technologie, mais tous les contenus pédagogiques sur la plateforme sont sous licences Creative Commons, afin de favoriser au maximum le partage et le remix des savoirs.
Quels sont les plans pour l’entreprise ?
Pour l’instant, développer encore la plateforme lyclic.fr pour répondre aux besoins des utilisateurs, ensuite élargir notre champ d’activité en éditant des ressources pédagogiques multimedia tout en s’imposant comme « facilitateur » numérique : créer des liens entre les différents acteurs de l’écosystème éducatif numérique, au moyen de formations, créations de partenariats, missions de conseils, etc.
Qui sont vos principaux concurrents ?
Facebook et Wikipedia. Plus sérieusement, deux réseaux sociaux se rapprochant de notre concept existent déjà : beebac.fr et leminiréseau.fr.
Où voyez-vous l’entreprise dans un an ?
Au top. Plus concrètement, nous la voyons bien intégrée à l’écosystème éducatif numérique, en lien étroit avec les institutions locales et nationales, publiques et privées, pour mener des projets web éducatifs d’ampleur.