TradeMachines

#Startup #B2B #B2C #Economie Collaborative Dernière mise à jour : 26/04/2016 à 23:29
Logo de la startup TradeMachines
  • Fondateurs : Heico Koch
  • Nombre d'employés : 30
  • Levée de fonds : 700 000€

DESCRIPTION de TradeMachines

Que proposez vous ?


TradeMachines est un moteur de recherche pour machines industrielles d’occasion. En réunissant les offres de nombreux fournisseurs, TradeMachines permet aux acheteurs de comparer, sur une seule plateforme, des centaines d’offres, leur évitant ainsi de jongler entre plusieurs sites Internet. TradeMachines fonctionne donc comme un Google du tracteur et du chariot élévateur, en redirigeant systématiquement le potentiel acheteur vers le site de vente qui l’intéresse.


A quel besoin répondez vous (Pourquoi vos clients ont-ils besoin de votre produit/service ?)


TradeMachines est un système gagnant-gagnant pour les vendeurs et les acheteurs.

D’une part, il existe environ 60 000 vendeurs de machines industrielles d’occasion dans le monde, qui sont pour la plupart de petits fournisseurs travaillant à l’échelle locale. TradeMachines leur permet de faire ce qu’ils font de mieux – vendre– sans avoir à se soucier de l’aspect marketing.

D’autres part, dans un contexte de récession dans les secteur primaire et secondaire, la demande en machines d’occasion (moins onéreuses) est en pleine croissance.


Quelles sont les technologies que vous utilisez ?


Grâce à des plateformes web performantes, TradeMachines offre une navigation simple et intuitive à ses clients.


Histoire de TradeMachines

Comment avez vous eu l’idée ?


Heico Koch, le fondateur de TradeMachines, est parti d’un constat simple en fondant l’entreprise en octobre 2013 : acheter une machine d’occasion sur Internet, c’est une vraie galère ! Il n’existe alors aucun site Internet regroupant les différentes offres d’équipement industriel d’occasion.


Qu’est ce qui vous a convaincu de vous lancer et de créer ce projet ?


Heico Koch est docteur en génie mécanique et avait déjà cotoyé le secteur des machines industrielles grâce à sa boite de conseil Leanovate. Ainsi, il avait à la fois une expérience dans l’entrepreunariat et dans le machinisme industriel.

De plus, il s’est rendu compte que la demande en machines d’occasion était grandissante: il a donc saisi cette opportunité et crée TradeMachines.


Depuis combien de temps avez vous commencé ce projet ?


TradeMachines a été fondé en octobre 2013.


LE BUSINESS MODEL DE LA STARTUP

Quel est votre cœur de cible ?


Notre coeur de cible est triple. Nous touchons les professionnels ayant besoin de matériel pour leur usines ou exploitation, les particuliers ayant besoin de ces même machines ou d’outillage plus léger (tondeuse, outils de jardinage…), et les personnes voulant vendre leurs machines.


Comment allez-vous vous faire connaître de vos clients ?


Nous mettons en place des partenariats avec des vendeurs et fournisseurs influents (Surplex, Ritchie Bros, Agriaffaires) et essayons de mettre en place des campagnes SEO efficaces.


TradeMachines est un moteur de recherche pour machines industrielles d'occasion.

Quel est le business model Comment gagnez-vous de l’argent ?


TradeMachines gagne de l’argent grâce au coût par clic (CPC), comme un moteur de recherche classique : les vendeurs paient en moyenne 0,30€ lorsqu’un potentiel acheteur est redirigé vers leur site de vente.


LES AVANTAGES de TradeMachines

Qui sont vos principaux concurrents ? (Si si, il y a toujours un concurrent)


Notre principal concurrent est Machinio, également un moteur de recherche pour machines d’occasion, et surtout présent aux États-Unis. Il existe également d’autres places de marché pour machines d’occasion – Surplex, Agriaffaires, Exapro, Ritchie Bros – qui ne sont pas vraiment des concurrents. En l’occurence, ils occupent plutôt la place de partenaires ou de potentiels partenaires, puisque nous relayons (ou voudrions relayer) leurs offres.


Quels sont vos avantages par rapport à vos concurrents (vous avez le droit à un joker pour cette question)


Notre avantage principal, par rapport à nos “concurrents” (places de marché) est que nous permettons aux acheteurs d’avoir un aperçu global de 30% des ventes en cours de machines d’occasion en Europe.

Notre avantage par rapport à Machinio est que nous avons de l’expérience en Europe et connaissons bien ce marché (surtout en Allemagne).


En quoi vous démarquez vous de vos concurrents ?


Machinio est surtout présent aux États-Unis, et nous sommes leader en Europe. Quant aux autres places de marché précédemment évoquées, nous regroupons leurs offres et ne vendons aucune machines directement sur TradeMachines, qui est un moteur de recherche.


ET DEMAIN?

Quels sont les plans pour l’entreprise (revente, Ipo, rien du tout) ?


Pour l’instant, notre seul plan est de faire grandir TradeMachines, tant en termes “quantitatifs” – nous cherchons à développer l’entreprise à l’international – qu’en termes “qualitatifs” – nous voulons que TradeMachines devienne une référence du marché des machines d’occasion.


Quels sont vos besoins ?


Notre principal objectif et besoin est le succès de notre plateforme française. Nous sommes donc en train de démarcher des vendeurs et fournisseurs français pour accroître notre réseau et avoir plus d’influence en France.


Où voyez-vous l’entreprise dans un an ?


D’ici un an, nous aurons développé les plateformes françaises, italiennes et russes. Nous pourrons donc nous concentré sur l’optimisation de ces plateformes (otpimisation commerciale et optimisation marketing) et l’ouverture de nouveaux domaines (polonais notamment).