TonPsy

#Startup Dernière mise à jour : 18/03/2019 à 10:54
Logo de la startup TonPsy

La startup ne semble plus être en activité.

  • Fondateurs : Jean Philippe Da Costa, Yoann Hervouet, Arnaud Sellenet, Joël Azemar, Leïla Capiaux, Olivier Carrasco
  • Nombre d'employés : 0 employés pour le moment, mais 6 associés
  • Levée de fonds : En cours, nous recherchons 20 000 € pour commencer
  • Toutes les startups de Toulouse

Le divan se modernise ! Avec Jean-Philippe et son équipe de TonPsy, les thérapeutes arrivent dans votre salon. Lancée en plein startup week-end, reconnue par le classement Challenges, l’entreprise est actuellement en pleine campagne de crowdfunding. Ça bouge pour les psys !

DESCRIPTION de TonPsy

Que proposez vous ?


TonPsy propose un système unique de psychologie et de psychanalyse en ligne, par vidéo. Pour les internautes, il n’y a rien à installer : il suffit d’avoir un ordinateur avec une webcam et un micro. En effet, la solution de visioconférence de TonPsy est déjà intégrée au site. Grâce à ce système, le patient et le praticien peuvent se voir et converser sans difficulté, comme s’ils étaient en face à face. TonPsy.fr est la 1ère plateforme française à avoir mis en place ce système de visio intégré au site, appliqué à la psychologie. C’est un service vraiment original, en effet :

– Depuis des millénaires, les êtres humains se confient à leurs proches en discutant en face à face;

– Depuis une centaine d’années, les choses ont quelque peu changé : les êtres humains font appel à des professionnels de l’écoute ;

– Aujourd’hui, avec TonPsy.fr; on assiste à un bouleversement de paradigme, puisqu’il est désormais possible possible de se confier à un professionnel sans se déplacer de chez soi, tout en obtenant des résultats aussi bons qu’avec une thérapie de face à face.


A quel besoin répondez vous ?


Notre service s’adresse à toutes les personnes qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas consulter un thérapeute en cabinet. Et elles sont nombreuses :

– les personnes timides ou celles qui ont peur de croiser des amis dans la rue, en rentrant de leur rendez-vous avec le psy, alors qu’elles ont le visage encore en pleurs

– les salariés aux horaires de bureau classiques (9h-18h), qui rentrent chez eux trop tard le soir pour pouvoir se rendre en cabinet

– les personnes vivant en zone rurale, qui doivent faire des kilomètres en voiture pour accéder au psy le plus proche

– les personnes à mobilité réduite

– les personnes qui déménagent mais qui souhaitent conserver le même thérapeute (idéal pour toutes les thérapies qui peuvent durer 15 ou 20 ans comme la psychanalyse freudienne)

– les expatriés

– les agoraphobiques

– les personnes assignées à résidence par décision de justice

– les personnes souhaitant consulter à plusieurs mais ne se trouvant pas dans le même lieu géographique (exemple : pour une thérapie de couple)
Bref, il y a de réels besoins !


Quelles sont les technologies que vous utilisez ?


WordPress pour la partie blog, Heroku et OpenTok pour la partie applicative (visio).


Histoire de TonPsy

Comment avez vous eu l’idée ?


Sur les bans de l’université : alors jeune étudiant en psychologie, Jean-Philippe Da Costa a alors eu l’idée de mêler ses 2 passions : l’informatique et la psychologie.


Qu’est ce qui vous a convaincu de vous lancer et de créer ce projet ?


C’est grâce au 1er startup weekend de Toulouse que Jean-Philippe Da Costa a pu développer l’idée avec d’autres professionnels.


Depuis combien de temps avez vous commencé ce projet ?


Nous avons ouvert le service au public le 15 octobre 2012. En amont, nous travaillions sur la plateforme technique de visio et sur notre stratégie marketing depuis environ 1 an.


LE BUSINESS MODEL DE LA STARTUP

Quel est votre cœur de cible ?


Toutes les personnes désireuses de consulter un psychologue ou un psychanalyste, pour des problèmes importants (dépression…) ou légers (procrastination…), sur des thérapies courtes (Thérapies Comportementales et Cognitives, psychanalyse lacanienne…) ou longues (psychanalyse freudienne). Après avoir investi le marché francophone en fin 2012, TonPsy s’ouvre au marché anglophone. Notre cible principale : les personnes majeures ayant une carte bleue ou un compte Paypal.


Comment allez-vous vous faire connaître de vos clients ?


Grâce à de la publicité sur Facebook, au trafic en provenance de Google, aux relations presse (notre startup est suffisamment originale pour passionner les journalistes.)


TonPsy propose un système unique de psychologie et de psychanalyse en ligne, par vidéo.

Quel est le business model ?


Nous prélevons 25 % sur chaque consultation. Evidemment ce pourcentage diminuera par la suite, avec l’augmentation du volume d’affaires.


LES AVANTAGES de TonPsy

Qui sont vos principaux concurrents ? (Si si, il y a toujours un concurrent)


Directs : à l’inverse de notre service, la plupart de nos concurrents online requièrent de télécharger par un logiciel externe de visioconférence. C’est le cas de Psychologika en France, qui utilise Skype, ou de PsyZG.com en chine, qui utilise IMQQ (similaire à MSN Messenger).

Indirects : bien évidemment, les psychologues implantés en cabinet, qui réalisent des consultations “en face à face”, sont nos premiers concurrents.


En quoi vous démarquez vous de vos concurrents ?


Notre solution vidéo est intégrée, tout d’abord ; ensuite, nous avons des valeurs et essayons de ne jamais succomber aux sirènes du commerce : la psychologie n’est pas un service comme les autres ! Ce qui nous importe avant tout, plus que de “vendre” des consultations, c’est que les personnes qui nous contactent aillent mieux. Si nous sentons que la psychologie en face à face conviendrait mieux à tel ou tel patient, nous n’hésitons pas à conseiller cette approche. Enfin, nous sommes ouverts à l’international.


ET DEMAIN?

Quels sont les plans pour l’entreprise (revente, Ipo, rien du tout) ?


Pour le moment, une première levée de fonds, via crowdfunding, sur Sparkup :  (dépêchez-vous, plus que quelques jours restants !)


Quels sont vos besoins ?


Nous faire connaître, et surtout faire savoir au grand public que ce genre de service existe ; il faut se départir de l’idée selon laquelle il faudrait absolument se rendre en cabinet pour consulter un thérapeute.