La startup ne semble plus être en activité.
Les trains qui arrivent à l’heure n’intéressent personne. Sauf peut-être ceux qui vendent les billets…et l’équipe de Capitaine Train ! Nous vous les avions présenté il y a bientôt 2 ans et déjà à l’époque nous étions fiers de la vitalité et de la créativité de ces jeunes entrepreneurs qui s’attaquaient à un mastodonte historique et premier site marchand français dont nous tairons le nom pour ne pas faire de publicité à un site qui n’en a pas besoin… Une équipe renforcée, des investisseurs confiants au point d’apporter la modique somme de 1,4 millions d’euros, un marché qui s’étend des deux côtés du Rhin, et des technologies qui passent sur tous supports… Alors que les plus avertis préparent déjà leurs vacances pendant que d’autres s’évertuent à défendre notre pouvoir d’achat, nous ne pouvions résister à l’envie de représenter le Capitaine !
DESCRIPTION de Capitaine Train
Que proposez vous ?
Nous vendons des billets de train sur internet.
Quelles sont les technologies que vous utilisez ?
Nous utilisons le framework Ember.js pour le site, le framework Ruby on Rails pour le serveur et PostgreSQL pour la base de données. Nous n’utilisons que des logiciels OpenSource et développons tout en interne.
Histoire de Capitaine Train
Comment avez vous eu l’idée ?
Nous trouvions que la réservation des billets de train en ligne était trop compliquée. Nous voulions la rendre plus simple et plus rapide, en créant un site efficace et centré sur le service rendu aux clients.
Qu’est ce qui vous a convaincu de vous lancer et de créer ce projet ?
Outre le fait de souvent s’énerver contre le site de la SNCF, un des éléments déclencheurs a probablement été la décision de l’autorité de la concurrence de février 2009. Elle a condamné la SNCF à traiter les agences de voyages à égalité avec sa propre filiale Voyages-SNCF, jusque là la seule à pouvoir vendre les billets de train de la SNCF sur internet.
Depuis combien de temps avez vous commencé ce projet ?
Le projet a commencé en février 2009.
LE BUSINESS MODEL DE LA STARTUP
Quel est votre cœur de cible ?
Tous les gens qui sont amenés à prendre le train en France et en Allemagne.
Comment allez-vous vous faire connaître de vos clients ?
Aujourd’hui nous fonctionnons quasi-exclusivement grâce au bouche-à-oreilles. Notre obsession, c’est l’expérience client. Nous concentrons tous nos efforts dans la construction du meilleur service possible. En faisait un bon produit, nos clients en parlent autour d’eux et le recommandent à leurs amis. C’est aujourd’hui notre premier levier de croissance.
Notre startup Capitaine Train vends des billets de train sur internet.
Quel est le business model ?
Nous sommes une agence de voyages agréée. Les transporteurs (SNCF, iDTGV, Deutsche Bahn, etc.) nous versent une petite commission sur chacun des billets que nous vendons.
LES AVANTAGES de Capitaine Train
Qui sont vos principaux concurrents ? (Si si, il y a toujours un concurrent)
Ça inverse un peu la question, mais nous dirons plutôt que nous sommes le premier concurrent grand public de Voyages-SNCF.
Quels sont vos avantages par rapport à vos concurrents (vous avez le droit à un joker pour cette question)
Nous proposons une expérience client plus agréable (simple, rapide, sans pub, obsession du service client). Mais ce sont encore nos clients qui en parlent le mieux.
En quoi vous démarquez vous de vos concurrents ?
On se démarque sur l’expérience d’achat (plus simple, rapide et efficace, sans pub) et le service client. Nous sommes indépendants de tout revenu publicitaire, notre objectif n’est donc pas de faire des pages vues mais bien de créer le meilleur service possible. Notre business model nous permet de mettre la satisfaction de nos clients au coeur de notre stratégie.
ET DEMAIN?
Quels sont les plans pour l’entreprise (revente, Ipo, rien du tout) ?
Nous souhaitons poursuivre notre croissance et, à plus long terme, nous étendre en Europe.
Quels sont vos besoins ?
Si quelqu’un veut nous faire passer au 20 h, on prend. :) Sinon, on recherche toujours de nouveaux talents.
Où voyez-vous l’entreprise dans un an ?
Présente sur les mobiles et, pourquoi pas, dans d’autres pays.
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